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Cullen Rutherford
– Inquisition –
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Not all those who Wander are lost
Les dernières barrières s'envolèrent avec la chemise de Blackwall. Il allait enfin pouvoir pleinement goûter à l'amour que lui criait Eliwendë. Il pouvait sentir ses mains partout sur son corps. Le toucher de la demie-elfe était électrisant. Des sensations de chaleur, un plaisir pur et intense, se retrouvait partout où sa main passait. Blackwall était un guerrier seul et abattu par le combat, et Eliwendë la lueur salvatrice qui lui redonnait des forces. Il pouvait sentir ses muscles noués d'angoisses se détendre au contact de sa moitié, il pouvait sentir ses cicatrices frémir de sensations alors qu'elle les explorait. C'était intense, bien plus que tout autre expérience du genre. Eliwendë était une femme extraordinaire. Il était fière de dire qu'il aimait une femme de cette trempe.
Et à travers les baisers et les mouvements de va et vient, il entendit un surnom qui avait le potentiel de rester pour toute leur vie commune. Blackie. Il aimait ça.
Il aimait les caresses d'Eliwendë. Il aimait que ses yeux, ne sachant pas où se poser, examinait son corps sous toutes ses coutures. Il aimait que ses cheveux se plie à ses caresses. Le barbu fut étonné de la force dont faisait preuve Eliwendë. Ses caresses semblaient vouloir lui arracher la peau des os, ses baisers aspiraient les lèvres de Blackwall , collant leur visages pendant quelques délicieuses secondes de plus.
Le barbu ne se retint pas non plus. Il agrippait les seins ronds comme des pommes d'Eliwendë, jouant du doigt avec le téton, sachant qu'Eliwendë adorerait ça. Le manque de douceur, et la rigoureuse passion d'Eliwendë l'incita à ne pas se retenir non plus. Sa poigne de fer attrapait les formes d'Eliwendë. Il voulait la sentir, la rendre réelle non pas à son corps, mais à son esprit directement par les sens. Ses seins, ses joues, la délicieuse courbe de ses hanches, ses fesses. Il adorait sentir la délicate chair se tendre sous sa poigne, et observer la marque de ses doigts serrant son aimée se dessiner sur la peau blanche comme les premières neiges, à travers son pantalon.
Se pressant contre elle, il mit la main sur son pantalon. Dans un mouvement inverse à ce qui allait inévitablement arriver, Eliwendë mit la main sur celle de Blackwall, comme pour l'empêcher. Elle balbutiait, et tentait de reprendre son souffle. A vrai dire, son amant était à bout de souffle aussi. Cette petite pause serait vite oublié, tandis qu'Eliwendë tentait de trouver ses mots. L'esprit de Blackwall comprenait. Mais son cœur avait entièrement pris le contrôle, et il ne criait qu'une chose. La blanche main de sa demie-elfe, tremblante, se retira, et elle posa un unique baiser humide sur les lèvres de Blackwall, mettant ainsi le rythme de départ clair. Blackwall devrait ménager Eliwendë.
Il se pressa contre elle. Sa main fit baisser le pantalon d'Eliwendë, et il put enfin admirer de ses yeux les formes parfaites qu'il aimait tant. Doucement, tendrement, il mit les mains sur les hanches de sa demie-elfe pour les écarter. Ici, calée sur la poutre, il était son monde entier. Seuls, personne n'irait les déranger. Il pouvait sentir le corps entier d'Eliwendë, sa respiration de plus en plus rapide, alors qu'il la pénétra doucement. Une sensation soudaine, électrique, se déchargea à l'intérieur de son corps. Oh, Eliwendë! Il n'y avait plus Blackwall. Il n'y avait plus Eliwendë. Il n'y avait que deux âmes aimantes qui s'échangeait le plus basique des plaisirs. Le monde pouvait s'écrouler, Corypheus pourrait venir les annihiler ici et maintenant, cela ne changerait pas cette vérité. Elle était à lui. Et il était à elle.
Insatiable, il commença à accélérer. Le bruit de la peau contre la peau commença à se faire entendre, installant un rythme qui n'allait que croissant avec le plaisir procuré. Eliwendë avait encerclé son cou de ses bras, et gémissait à ses oreilles, lui murmurant des mots interdit qui ne faisait que l'exciter encore plus. Il accéléra encore, et profita de la force soudaine qui le prenait pour soulever Eliwendë. Elle quitta le sol, n'étant tenu en équilibre que par son contact avec la poutre, et par les grandes mains de Blackwall qui lui soutenait les fesses. Ses jambes encerclaient le corps de Blackwall, et la douleur des ongles qui pénétrait sa chair n'était pas comparable à l'immense plaisir qu'il ressentait.
Il la tenait entre ses bras, et sentait les secousses de plaisir qu'il lui procurait. Ses seins étaient pressés contre son torse, son fessier était dominé par ses mains qui les soulevait. Ses coups de reins s'étaient maintenant stabilisés à un rythme normal, et des grognements de plaisir, si l'on pouvait qualifier ça de gémissements, commencèrent à s'échapper de sa bouche. La tête d'Eliwendë était collé à la sienne, et il mordilla le bout de son oreille. Il n'avait aucune idée de si les elfes ressentait quelque chose dans cette endroit, mais il s'y prit tendrement, en étant sûr de ne lui faire aucun mal.
Tandis qu'Eliwendë lui murmurait des mots doux, lui restait assez silencieux. Il l'aimait tellement que des mots n'étaient pas nécessaires pour démontrer cette passion. Il était absorbé dans l'exploration intérieure d'Eliwendë, d'écraser son pelvis sous le poids de son amour, de sentir toutes les fibres de son être connectées à cette femme qu'il aimait tant.
Et à travers les baisers et les mouvements de va et vient, il entendit un surnom qui avait le potentiel de rester pour toute leur vie commune. Blackie. Il aimait ça.
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