Noggoda Flinttank

Fiche de personnage

"Gagne la guerre, préserve la paix!"

Informations générales

Nom, prénom :

Noggoda Flinttank

Âge :

28 ans

Genre :

Femme

Orientation sexuelle et amoureuse :

Elle ne le sait pas elle même

Situation amoureuse du moment :

Son seul engagement est de tué toujours plus d’engeances

Race :

Nain

Origine :

Ferelden, Les Marches Solitaires

Langue.s parlée.s :

Commun

Vit majoritairement en :

Férelden

Quelques anecdotes :

◊

Elle donnerait son âme pour des fraises

◊

Elle vénère l’héroïne de Ferelden et le Roi Alistair

◊

Elle n’aime pas la bière

Je suis ...

Classe :

Guerrier

Ecole.s de magie :

laissez vide si vous n'êtes pas mage

Spécialisation :

Héraut

Arme.s :

Marteau à deux mains de son père et épée/bouclier

Profession.s :

Guerrière à présent

Faction 1 :

Garde des Ombres de Ferelden (neutre dans le conflit interne)

Faction 2 / secrète :

nom, grade (laissez vide si vous n'en avez pas)

Description physique

Taille :

1 mètre 35 centimètres et 5 millimètre (ne jamais oublier le ½ centimètre)

Corpulence et morphologie :

Massive et athlétique

Couleur de peau :

Blanche

Couleur des yeux :

Bleu Azur

Cheveux :

Noggoda ne c’est jamais coupé les cheveux, ils sont blonds presque blancs, elle les attaches en deux tresses la majorité du temps ou en un chignon flou. Le seul moyen de la voir les cheveux détachés est quand elle les lave. Ils lui arrivent aux mollets

Signes distinctifs :

Elle a une cicatrice sur l’œil gauche

Autre (facultatif) :

Elle portait l’armure de sa mère en peau avec des protections de métal avant de recevoir son armure de la Garde.

Description psychologique

Quelques qualités :

Solaire, Franche, Altruiste

Quelques défauts :

Trop franche, Têtue, Gourmande

Personnages de référence (facultatif) :

Si vous en avez

Derrière l'écran

Pseudo :

Aliana

Comment nous avez-vous trouvé ?

Un dernier mot ?

QC oui je sais

Voici mon histoire.

– Les Marches Solitaires –

Noggoda est née le 20 Touchenuée 9:14 du Dragon dans les Marches Solitaire. Ses parents, sont deux nains surfaciens. Les premiers souvenirs qui viennent à la jeune naine quand elle pensait à ses parents, c’était le bruit de la forge de son père et le visage couvert de terre de sa mère, alors qu’elle s’occupait du potager de leur maison. Les nains n’étaient pas des agriculteurs, mais elle était issue d’une longue lignée de Surfaciens. Avec le temps et la nécessité, les femmes de la famille avait appris à faire pousser des légumes pour nourrir la famille. Sa propre mère avait même poussé les choses en élevant des chèvres dont elle utilisait la peau pour faire des vêtements. La petite blondinette grandit dans un foyer aimant, entourée par l’amour de ses parents. Elle se souvenait de la tarte aux fraises avec un peu de menthe hachée que sa mère préparait pour les anniversaires, avec des fraises fraîches ou en sirop. Elle se souvenait des rires, du bonheur simple de cette vie. Elle avait grandi en toute innocence, dans un univers où il était encouragé d’exprimer son point de vue et de ne jamais mentir.
Enfin ceci était à présent comme des rêves pour Noggoda. Comme si tout cela n’avait jamais vraiment existé. Comme si quand l’enclin était arrivé, son cerveau avait tout effacé.

– Le cinquième Enclin –

 
C’était peu de temps après la bataille d’Ostagar que la horde frappa à sa porte, le 14 Justinien 9:30. Son père était à la forge, sa mère dans le potager. Noggoda du haut de ses 16 ans était avec son père, à l’observer forger une pièce de réparation pour le chariot du voisin, elle l'aidait en lui passant ses outils. Elle et son père entendirent alors le hurlement de sa mère qui leur disait de fuir, alors que son père lâchait ce qu’il faisait pour attraper un marteau de guerre nain, héritage d’un ancêtre d’Orzammar, elle se tourna en direction de sa mère pour voir un Hurlock la raccourcir de sa tête. Elle avait attrapé le marteau de Forge de son père pour se défendre mais en voyant l'horreur faite à sa mère, un black out frappa l'adolescente, elle ne revint à la réalité que plusieurs heures plus tard. Elle était avec son père, il était recouvert de sang, sur un cheval bien trop haut pour un nain. Elle ne posa aucune question, elle referma les yeux. Elle n’avait aucune idée d’où ils étaient, d’où ils allaient. Son père lui dit de ne pas toucher le sang qui le recouvrait. Mais il y en avait temps, elle fit de son mieux et elle se rendormi entre les bras de son père et la tête du cheval. Son père la réveilla quand le cheval était à l’arrêt. L’aurore pointait à l’est. Elle leva son visage vers lui et elle vit un mélange de désespoir et de détermination. Il sauta à terre et sans un mot tendit les bras vers elle pour qu’elle en face de même. Pas un mot ne fut échangé, elle observa son père attacher le cheval à un arbre près du cours d’eau pour qu’il puisse s’abreuver et mangers l’herbe tendre autour. Le cheval avait de l’écume aux lèvres, son père avait poussé le cheval jusqu’au bout de ses forces. Elle le reconnu, c’était le cheval de leur vieux voisin. Celui pour qui papa préparé une pièce de réparation avant que… Les larmes envahirent les yeux azures de l’enfant. Mais la voix grave de son père résonna dans le silence.
« Ta mère est retournée à la pierre ou auprès du créateur, enfin peu importe. Elle est en paix. Et nous Noggoda, nous allons au nord, à Amaranthine. Le frère de ta mère nous accueillera. Il va falloir être forte Noggoda. Les engeances à la surface en un aussi grand nombre, il n’y a qu’une seule signification. C’est un enclin. »
Alors que de grosses larmes coulées sur ses joues elle observait son père nettoyer son marteau de guerre, et elle le vit se mettre lui-même à l’eau par la suite pour retirer la souillure de l’engeances. Elle se souvenait du conte sur les engeances que sa mère lui racontait. Petit à petit les larmes cessèrent, et elle afficha un sourire sur son visage. Elle serait forte. Elle attendit que son père sorte de l’eau et elle lui dit qu’elle voulait apprendre à se battre comme lui. Elle essaya même de soulever le monstrueux marteau de guerre, mais il ne bougea pas d’un pouce. Vexée elle recommença, encore et encore, jusqu’à ce que son père lui dise que quand il vendrait le cheval, il lui prendrait une arme adaptée à sa musculature actuelle. Et il teint parole. Le chemin jusqu’à Amaranthine lui sembla interminable à pied. Mais elle marchait, gardant sa joie de vivre et son sourire. Il y avait assez de l’air sérieux de son père. Il fallait bien que quelqu’un garde le sourire. Il avait troqué le cheval dans un village contre le droit d’utiliser leur forge pour lui faire une épée à deux mains. Il lui apprenait tous les jours avant de lever le camp le matin et à la lueur du feu avant de dormir le soir. Son père n’était pas un guerrier mais un forgeron, elle se rendit rapidement compte que quand il se battait, c’était le même rythme que quand il frappait à la forge. Elle voulait se battre, elle voulait passer sa vie à empêcher qu’une enfant perde sa mère à causes des engeances, comme elle. C’est quand elle annonça ce fait simple à son père qu’il lui parla de la Légion des morts chez les nains et des Gardes des Ombres. Elle sut, à cet instant précis elle su ce qu’elle ferait de sa vie. Quand ils arrivèrent à Amaranthine, son père savait que rien ne ferait changer d’avis sa petite tête blonde. Quand elle avait une idée en tête, rien ne lui ferait changer d’avis. Le temps de l’Enclin, ils restèrent à Amaranthine. Son père aidait son oncle dans ses affaires, même si ce dernier n’avait rien demandé comme contrepartie pour les héberger. Mais son père voyait le travail comme une vertu. Pendant ce temps, Noggoda livrée à elle-même s’entraînait seule, jusqu’à l’épuisement. Puis la nouvelle se répandit en Ferelden, l’archidémon était mort, le jour de l’anniversaire de Noggoda. Le roi Alistair qui était un garde des ombres avait été choisi pour devenir le roi du pays. Quelques temps après la nouvelle se répandit que ce qui était la propriété des Howe appartenait aux gardes des ombres et que Fort Bastel allait devenir le QG de l’ordre en Ferelden. A partir de ce jour Noggoda doubla ses efforts dans l'apprentissage du maniement de son épée. Le jour des ses 18 ans en 9:32 elle se présenta à Fort Bastel habillée de la vieille armure de sa mère avec son épée double.

– Fort Bastel –

L'accueil qu'elle reçu par l'Héroïne de Ferelden fut plutôt glaciale. Elle ne correspondait pas du tout à ce qu’elle avait imaginait la naine. Mais elle restait celle qui avait sauvé Ferelden. Noggoda ne comprenait pas la méfiance de l'elfe mais elle voulait être garde et il était difficile de refuser les volontaires avec le peu de gardes des ombres Ferlediens. Mais voyant la méfiance de la commandeur garde, elle proposa d'être une simple garde de Fort Bastel en attendant que la commandeur garde accepte qu'elle devienne Garde des Ombres.
Pour l’anniversaire de ses 19 ans, son père lui offrit une épée et un bouclier. La petite devenait une petite femme, elle faisait presque sa taille adulte à présent. Et même si elle aimait son arme à deux mains, elle se découvrit un amour particulier pour le maniement de l’épée et du bouclier. Le Bouclier avait un symbolisme de protection qu’elle aimait particulièrement. Elle pouvait protéger les autres avec, et pas uniquement se battre comme avec son épée à deux mains.
Elle délaissa petit à petit son arme à deux mains, pour se consacrer pleinement au maniement bouclier-épée. Les entraînements militaires étaient les moments préférés de la jeune femme. Elle restait toujours sur le terrain d'entraînement après. C'est ainsi qu'elle rencontra Tullia. Peu importait à Noggoda la bizarrerie de cette femme, elle impressionnait la naine avec sa virtuosité dans le maniement de ses dagues. Toujours avec le sourire, malgré les courbatures, la fatigues et des blessures superficielles, elle aimait ses entraînements corsés avec Tullia.

On lui demanda alors d’accompagner un groupe de gardes des ombres dans les Tréfonds pour une expédition de routine, afin d’assurer l’intendance avec deux autres personnes de Fort Bastel, elle avait 20 ans. Enfin bref, dans les Tréfonds, en petit groupe, les tensions pouvaient vite se faire pour des détails. Quelqu’un qui avait oublié de dire bonjour, quelqu’un qui avait un peu plus de nourriture que l’autre. Noggoda gérait la chose en faisant un grand sourire et un trait d’humour. Ça détendait l’atmosphère. Mais alors qu’ils montaient le camp pour manger et dormir et que les gardes des ombres n’étaient pas encore revenus, ils subirent une attaque d’un petit groupe d’engeances. Les deux soldats de formations et la jeune naine prirent les armes et les éliminèrent. Ils étaient entrain de se féliciter pour le fait de ne pas avoir été blessé, quand un Hurlock venu de nulle part tua un des guerriers. Noggoda hurla d’horreur et de rage avant de se relancer dans la mêlée. Les gardes arrivèrent alors que l’Hurlock allait abattre pour la cinquième fois son hache à deux mains sur le bouclier de la naine, elle allait riposter mais ils intervinrent avant. Dans le feu de l’action, du sang de l’Hurlock gicla sur le visage de Noggoda et s’infiltra dans la plaie qu’elle avait à l’œil gauche. Une fois la zone sure, les gardes des ombres inspectèrent la naine et le second survivant. Ce dernier n’avait rien, mais la souillure immaculé le visage de la naine, et quand ils virent sa blessure. Ils ordonnèrent une marche forcée pour rejoindre Fort Bastel. Au bout de plusieurs jours de marche, Noggoda se sentait faiblir. Elle fit un sourire et demanda à ce qu’on la tue. Elle ne voulait pas devenir une goule. Les Gardes c’étaient attachées à la naine qu’ils côtoyaient depuis des années, ils lui expliquèrent qu’elle pouvait peut-être éviter la mort. Mais pour ça, il fallait qu’elle tienne jusqu’à Fort Bastel. Ils l’aidèrent à marcher le dernier jour, mais ils réussirent à rejoindre le fort avant qu’il ne soit trop tard. Alors elle subit l’union, suvécue. C’est ainsi qu’elle était devenue une garde des ombres.
L'Union était une épreuve dont la naine se serait bien passé, mais si tel était le prix pour ressentir les engeances soit. Mourir en emmenant le plus de ces monstres avec elle quand elle entendrait l'Appel, lui convenait parfaitement
Voyant du potentielle en elle, un garde avec la spécialisation de Héraut commença à lui montrer sa technique de combat à la fin d’un entraînement, alors qu'elle avait 21 ans. L’après midi même, on pouvait la trouver dans la cour essayant de reproduire ce qu’elle avait vue. Il attendit une semaine, avant de réellement lui apprendre sa technique.
Les années passèrent, l'explosion de la Chantrie à Kirkwall, la guerre mage/templiers... Tout ça dépassait la compréhension de la naine, elle ne voulait simplement pas comprendre qu'on puisse avoir peur de quelqu'un pour qui il est que ça soit sa race ou ses compétences. L'explosion du Saint Temple Cinéraire et la cration de l'Inquisition. La naine n'y portait pas une attention plus importante que ça, surtout avec l'Appel qui résonnait dans son crâne. Elle avait seulement 28 ans, c'était un peu tôt pour mourir.

– Le faux appel, sa fin et les guerres intestines –

Elle entendait la chanson comme ses frères et soeurs d’armes. Les gardes de Ferelden ont deux ordres distincts, mourir dans les Tréfonds comme le veut la tradition ou tuer les engeances à la surface. Elle se retrouve répartie dans ceux largués à la surface. Une fois les évènements de l’Innébranlable passé et le coupable de tout ça mis en lumières. Il faut faire face à une scission au sein même de l’ordre. Elle trouve ça des plus ridicule. Ce que fait chaque Commandeur Garde le regarde, du moment qu’il fait son job. Evidemment, qu’elle est pour la transparence, mais l’opposition entre les unionistes et les séparatistes ne peuvent mener qu’à une chose, les affaiblir face à leur vrai ennemi. C’était l’une des rares choses qui l’opposait à Tullia. Mais la naine se contentais de dire à son amie qu’elle comprenait son point de vue, mais qu’elle le trouvai absurde, car ça la détournait de la priorité des l’ordre, les engeances.
Et à présent que le roi Allistair était mort, que même Ferelden semblait sur le bord de l’implosion, ne perdant jamais son sourire, la jeune naine se confortait à suivre les instructions du Commandeur Garde Ogrhen, même si elle aurait bien voulu faire quelque chose pour trouver le responsable du roi qu’elle admirait depuis son adolescence.

L'avis du staff :

Plop !

Désolée, il y a beaucoup de choses qui ne fonctionnent pas vis à vis du lore, en particulier celui de DAS à Fort Bastel :

- Il est peu probable que les Gardes des Ombres laissent des civils dans leur bastion, surtout aussi jeunes (les enfants étant toujours prêt à farfouiller là où ils le devraient pas). De même, il est très peu probable qu'ils aient envoyé une gamine inexpérimentée dans les Tréfonds, même avec un entraînement.

- La spécialisation est refusée : Noggoda est particulièrement jeune pour en avoir une et il est peu probable qu'elle ait commencé à s'entraîner à 14 ans alors même qu'elle n'a pas un entraînement de base important

- Concernant Fort Bastel en lui-même. D'un, Finduilas n'apprécie pas les nains, il est peu probable qu'elle en aurait accepté au sein du Fort plus que nécessaire. De deux, le Sénéchal de Fort Bastel à cette époque, Wulf, était contre la militarisation des jeunes, donc il aurait refusé que Noggoda s'entraîne ( il est même probable qu'il aurait tiqué à sa présence dans les cuisines puisqu'il refuse l'exploitation des enfants)

En l'état, nous ne pouvons donc pas valider le concept en lui-même, j'en suis désolée. Nous pouvons toujours discuter d'un autre concept ensemble ou essayer de trouver des solutions pour rectifier le tir.