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Dim 7 Juin 2020 - 0:47

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L'Intendant
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- Les chansons -

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Chansons Féreldiennes - [ICI]
Dane et le loup-garou.
La mabari d'Andrasté.
Rengaine de la côte orageuse.
La saga de Tyrdda Vivehache.

Chansons Orlésiennes - [ICI]
Impératrice.
Les trois petites impératrices.
Le chevalier d'argent.
La complainte de la détrousseuse.
La fille d'Aunevermes

Chansons Dalatiennes - [ICI]
Suledin.
Mir Da'len Somniar.
Où gémissent les saules.
In Uthenera.

Chansons Naines - [ICI]
Pancake au cochard.
La belle et le cochard.
Le roi cochard.

Chansons inclassables - [ICI]
La ballade d'Acélie.
L'aurore viendra.
Cochon au pot (La ballade de groin-groin).
Eclat de bleu.
Autrefois.
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Dim 7 Juin 2020 - 0:53

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- Les chansons Féreldiennes-

Dane et le loup-garou - Tiré de la saga Dane and the Werewolf, tel que le raconte le ménestrel Uccam, 4:85 Noir. Dane était un héro légendaire Alamarri, père d'Hafter.

"Tendez l’oreille, amis, écoutez mon histoire,
L’infortuné destin, le sort ô combien noir
D’un héros nommé Dane, un chasseur qui sans peine,
Provoquait la terreur des bois de Férelden.

Or donc il découvrit, un matin en forêt,
Un cerf immaculé qui le soleil prenait,
Beau trophée pour la lance qui saurait le poindre.
La poursuite s’engage, une fuite éperdue
Enfin le cerf s’écroule en un bosquet perdu,
Mais l’acte a attiré un hôte et non des moindres :
Un garou, créature à l’esprit d’un humain,
Qui s’en vient réclamer par cet obscur chemin
Notre cerf, s’estimant roi de cette forêt,
Appâté, capiteux, par l’odeur du sang frais.

Les deux maîtres chasseurs se guettent sans mot dire.
Dane, armé de sa lance, reste sans coup férir :
Face au terrible loup, le chasseur devient proie,
Sait qu’il n’a d’autre issue que mourir en ces bois.
Lors s’exclame le loup, d’une voix revancharde :
« Tu as volé ce cerf à mes bois et ma harde,
Tu nous dois maintenant juste réparation. »

La meute entoure Dane, s’en approche à pas lourds
Et lui qui de sa lame a occis à foison
Entend avec effroi dans leurs grognements sourds
Son nom distinctement prononcé, puis ces mots :
« En ce lieu tu mourras, parmi les animaux
À moins que tu ne veuilles endosser mon pelage
Tandis que je prendrai ta place en ton village. »

Ainsi donc se conclut ce sinistre contrat
Et Dane le garou devint hôte des bois,
Alors que son bourreau trônait en sa demeure.
Mais il est des marchés que l’on ne peut défaire ;
Qui ose faire un pacte en concédant son cœur
Ne pourra plus freiner sa descente aux enfers."


Le mabari d'Andrasté - Chant de taverne populaire à Férelden, quoiqu’historiquement improbable

"Le vieux mabari d'Andrasté
Apparaît pas dans le Cantique.
Et si vous demandez aux bonnes soeurs,
Elles vous diront que c'est des bobards,
Qu'Andrasté a pas eu de clébard.
Mais tout Férelden le sait bien :
Notre Dame avait besoin de quelqu'un
La nuit pour lui réchauffer les pieds.

Et voici la mabari d'Andrasté
Aux côtés de la Prophétesse.
Dans le combat contre Tévinter,
Le chien restait près de sa maîtresse.
Paraît que le Créateur l'avait envoyé,
Toujours loyal, pas fanfaron,
Pour être le fidèle compagnon
De sa sainte épouse bien-aimée.

Oh, ce chien protège Andrasté
Sans peur et sans orgueil,
Et ne demande à sa maîtresse
Qu'une gratouille derrière l'oreille.
C'est alors que le vieux Maférath complote,
Attire le chien pour l'éloigner.
Mais même lorsqu'ils piègent la Prophétesse,
Son mabari s'éloigne jamais.

Et voilà le mabari d'Andrasté
Aux côtés de la Prophétesse.
Dans le combat contre Tévinter,
Le chien restait près de sa maîtresse.
Paraît que le Créateur l'avait envoyé,
Toujours loyal, pas fanfaron,
Pour être le fidèle compagnon
Da sa sainte épouse bien-aimée.

Oh ils l'ont cru mort de ses blessures,
Mais il boita jusqu'au bûcher.
Et Hessarian versa une larme,
Quand le chien rejoignit sa protégée.

Et voilà le mabari d'Andrasté
Aux côtés de la Prophétesse.
Dans le combat contre Tévinter,
Le chien restait près de sa maîtresse.
Paraît que le Créateur l'avait envoyé,
Toujours loyal, pas fanfaron,
Pour être le fidèle compagnon
Da sa sainte épouse bien-aimée.

Oui ce mabari est le compagnon
De la sainte épouse du Créateur.
"


Une interprétation [ICI]

Rangaine de la côte orageuse - Extrait de Chants du Nord de Férelden de soeur Adalaïde.

"Sur la mer d'écume, le commerce m'appelle.
Un clin d'oeil, messire, et une histoire salée !
Mes tissus de mensonges réjouissent les jouvencelles.
Une tournée pour ces bougres!

Oh, la Côte Orageuse finira par me prendre,
Mais d'ici là, je naviguerai.
Alors dites aux filles que je rentre,
Des sous plein les casiers.

J'ai repêché une fille, prête à se noyer.
Un clin d'oeil, messire, et une histoire salée !
Je l'ai remontée dans mon grand filet.
Une tournée pour ces bougres !

Oh, la Côte Orageuse finira pas me prendre,
Mais d'ici là, je naviguerai.
Alors dites aux filles que je rentre,
Des sous plein les casiers.

Sur la mer de Nocen rôde un monstre méchant.
Un clin d'oeil, messire, et une histoire salée !
Attendez que je vous montre où il a planté ses dents.
Une tournée pour ces bougres !

Oh, la Côte Orageuse finira par me prendre,
Mais d'ici là, je naviguerai.
Alors dites aux filles que je rentre,
Des sous plein les casiers.

Je suis un marin heureux et poli.
Un clin d'oeil, messire, et une histoire salée !
A quai jusqu'à demain, je cherche la bonne compagne.
Une tournée pour ces bougres !

Oh, la Côte Orageuse finira par me prendre,
Mais d'ici là, je naviguerai.
Alors dites aux filles que je rentre,
Des sous plein les casiers.
"


La saga de Tyrdda Vivehache - Extrait de Chants du Nord de Férelden de soeur Adalaïde.

Première strophe :
"Voici l’histoire légendaire de Tyrdda Vivehache, femme d’esprit :
Son peuple libre, vif et véloce, rude et robuste, l’arme hardie,
Sage et serein, calme, éclairé, béni par ses dons honnêtes.
Elle mena sacrifices, tira enseignements, livra quêtes.
Vive sa hache, au cristal de feu, brandie face aux capricieux,
Don de sa bien-aimée elfique, la dame rieuse des cieux,
Toutes les lames s’y sont cassées,
Toutes les demandes écartées,
Tyrdda Vivehache la rêveuse,
Mère des Alvars, coryphée.
"


Deuxième strophe :
"Thelm aux mains d’or, aux doigts graisseux, aux bagues d’émeraude et de rubis,
Trouva des tribus en peine, les engraissa, les affaiblit.
De grands guerriers et fort nombreux, partirent combattre ses guerres,
Les corps couverts d’écailles de drakes, le sang macula les Terres.
Il leur vanta un riche trésor, au nord voilà qu’il brillait,
Un murmure, et direction la Cité d’Or dont il rêvait.
Conseillé la nuit en rêve,
Des voix que les sages ignorent,
Il écouta, et la troupe
À travers l’écume fut poussée.
"


Troisième strophe :
"Thelm tenta de charmer Tyrdda, la couvrit d’or et d’argent,
Il voulait ses hommes pour guerriers, voleur d’âme, voleur de sang.
La Main d’or conseilla la foule frappée par l’hiver glacé :
“Franchissons l’écume vers les délices de la cité dorée“.
Tyrdda Vivehache, folle de colère, brandit son cristal de feu,
Contre Thelm et ses manigances, insensible à ses doux yeux.
“Nul ne brisera ma tribu,
Aucune parole de démon,
Sens les feux de ma fureur,
Paroles de rêves, ne sont que mensonges“.
"


Quatrième strophe :
"Tyrdda Vivehache, Thelm aux mains d’or, combattirent hache contre épée.
Cotte de mailles et targe d’argent, Thelm était fort protégé.
Lame de dragon ensanglantée, les guerriers crièrent de joie,
Tyrdda et sa hache embrasée versèrent les larmes du combat.
Vive la hache de sa bien-aimée, la dame des cieux rit encore,
Tandis qu’hélas se répètent les mensonges de la Main d’or.
“Vers le nord, les cités dorées,
Écoutez la voix des rêves !“
Abattu, le menteur d’argent s’envole
Vers les cieux, rêver d’éternité.
"


Cinquième strophe :
"Tyrdda Vivehache, inébranlable, sortit sa tribu des plaines,
Lames émoussées, coeurs oppressés, bataillèrent contre leur peine.
Vers les montagnes enneigées, à la recherche d’un abri,
Elle trouva enfin une grotte, mais un dragon troubla la nuit.
La bête se mit à rugir, Tyrdda pria sa bien-aimée :
“Pour toi, ma chère et tendre, la couronne j’ai dû abandonner !“
La foudre vint alors s’abattre
Depuis les cieux en colère,
Le dragon tomba au sol,
Sous les décombres, éliminé.
"


Sixième strophe :
"Tyrdda Vivehache, fière des siens, à nouveau hors de danger,
Forts de l’effort, sortis grandis, plus sages, plus déterminés.
Sous le sol, les hommes de pierre, guerriers d’Hendir, étaient prêts,
Face à la tribu aux haches et aux épées qui brillaient.
Sa chère bien-aimée vint murmurer à l’oreille de Tyrdda,
Les coeurs des nains furent brisés, et c’est alors qu’elle demanda :
"Laissez la tribu des nains
Dans leurs grottes, dans leurs foyers,
Et par l’échange, le commerce,
Que les nains d’Hendir trouvent la paix“.
"


Septième strophe :
"Tyrdda Vivehache, amie des nains, rejoignit sa bien-aimée.
Mais au réveil, un doux matin, sa douce s’en était allée.
Des murmures au détour d’un rêve, mais le silence toujours pesant,
Sa lignée guerrière s’éteindrait à moins qu’elle accouche d’un enfant.
Aval’var, sa bien-aimée, toujours présente à ses côtés ;
Un jour, l’enfant de Tyrdda, Morrighan’nan, devrait briller.
Elle obéit aux murmures et
Hendir, prince nain, pour la lignée,
Lui donna cet héritier.
Les Alvars, son nom, notre trophée.
"


Huitième strophe :
"Tyrdda Vivehache, chef des Alvars, aidée de ses nains alliés,
Défit toutes sortes d’adversaires, à force de témérité.
Puis Tyrdda trouva Hendir, prince nain, ami et géniteur,
Qui lui rendit sa liberté, et lui souhaita le bonheur.
Son enfant vint à lui succéder, une fois les torts réparés,
Dans l’ignorance sa tribu désormais n’était plus plongée.
Dernier voyage vers les cieux,
Vers sa bien-aimée des rêves
Unies parmi les oiseaux,
Coeurs apaisés, âmes délivrées."


Dim 7 Juin 2020 - 0:59

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L'Intendant
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- Les chansons Orlésiennes-

Impératrice -
"Impératrice,
C'est ton règne que nous honorons
Par cette chanson, dans tout Orlaïs
Nous glorifions ton nom

Impératrice,
Qu'importent les saisons
Nous te défendrons
Et nos cicatrices
Grâce à toi se tairont

Nous sommes
À jamais tes obligés

Impératrice,
Viens nous délivrer
Vos heures sont comptées
La nation dérive
L'espoir est bafoué

Impératrice,
Ta force est en nous
Nous prenons les armes
Et levons nos dagues
Viens, délecte-toi du sang qui coule

Nous sommes
À jamais tes obligés

Impératrice,
C'est ton règne que nous honorons
Par cette chanson, dans tout Orlaïs
Nous glorifions ton nom

Impératrice,
Qu'importent les saisons
Nous te défendrons
Et nos cicatrices
Grâce à toi se tairont
"

à écouter [ICI]


Les trois petites impératrices - Extrait de Visite guidée de la capitale de Philliam, barde de son état !

De simples couchettes dans le style des Trois petites Impératrices, les triplées qui n'en étaient pas. Humbles dans leur jeunesse, leur histoire était toutefois fort sinistre : l'on disait que l'Impératrice Mérise (6:19-6:43 de l'Acier) avait eu une fille, puis adopté deux sosies pour protéger sa lignée d'un éventuel assassinat. Quoique la décision pût paraître stratégique, elle causa d'autres problèmes, si l'on en croit la comptine de l'époque :
"Trois petites Impératrices, laquelle est la vraie ?
Il n'en reste plus que deux après un verre de lait.

Deux petites Impératrices, laquelle fera fortune ?
Une dague sous un manteau et il n'en reste qu'une.

Une petite Impératrice, récolte ce qui a été semé.
Assise sur le trône, elle seule sait la vérité.
"


Le chevalier d'argent - Soeur Avery de Montsimmard retrouva cette chanson, oubliée de longue date, en tentant de savoir ce qu'il était arrivé à Ser Brandis, le Haume d'Argent, qui disparaît après sa confrontation avec le dernier Chevalier d'émeraude. Qui pourrait supporter la culpabilité d'un peuple, provoquée de sa main ?

Seigneur Avery de Montsimmard, 9:39 du dragon
"Sous son heaume d'argent brillant,
Les éperons tout aussi luisants,
Il chevauchait à travers champs,
Ce beau et vaillant chevalier.

Les elfes dressés sous leurs drapeaux,
Pas près de partir de sitôt,
Même sachant qu'ils mourraient bientôt,
Du premier Dalatien au dernier.

Sur un champ d'or ils se trouvèrent,
Leur destin scellé par cette guerre,
De se rendre, ils refusèrent,
Même s'il le leur avait prié.

Les Dalatiens, peuple orgueilleux,
Le cœur vengeur, prêt aux adieux,
Cris rageurs et sourires affreux,
Par la lumière furent irradiés.

Sous un soleil rouge déclinant,
La fin des elfes résistants,
Fut rapide pour les combattants,
Hormis une seule qui l'a défiée.

Ses frères gisaient sur le terrain,
Il refusait qu'elle meure en vain,
Lui dit de se rendre, pour son bien,
Ce bon et gentil chevalier.

Son bouclier tomba,
Vers son ennemi elle s'avança,
Ils ne virent pas l'arc loin de là;
Ni la flèche déjà tirée.

Au feu de la pointe acérée,
L'elfe, incapable de résister,
Lâcha doucement son épée,
Son sang vermillon a coulé.

Sans dire un mot, sans un seul bruit,
Il attrapa son corps sans vie,
Ses cheveux sombres comme la nuit,
Ou un linceul, l'ont enveloppée.

Autour de lui, un cri, soudain,
Fêtait la chute des Dalatiens,
La victoire attendue des siens,
Mais pas du noble chevalier.

Son heaume était maintenant terni,
Taché du sang de la jeune fille.
Levant les yeux au ciel, il vit
La lumière elfique décliner.

Il prit l'épée, le cœur chagrin,
Pria d'un murmure indistinct,
Personne ne vit par quel chemin
Il délaissa cette terre souillée.

Vers l'est, il s'en est allé,
Sous un arbre, il planta son l'épée,
Et resta là, agenouillé,
Notre chevalier endeuillé.
"


La complainte de la détrousseuse - Extrait de Chansons Orlésiennes d'antan : la complainte de la Détrousseuse, recueil de paroles compilé par (anciennement) soeur Laudine.
"Ô bourreau, retiens ta main, fais-moi ce plaisir.
Ô juré au coeur d'airain, le temps d'un sourire.

Car s'en vient mon frère distant,
S'en vient mon cher sauveur.
Insistante, ici j'attends
Mon aubaine, ma faveur.

Camarade, retiens ta voix, j'implore ta pitié.
A tout mon corps tu le vois, je suis à tes pieds.

Car mon offense était vile,
Et ma peine méritée.
Me voici l'imbécile,
Au dam de mon aîné.

Douce mère, regarde au loin le soleil brillant.
Et toi qui as tué, suis-moi dans le néant.

Car le temps s'en est allé
Des prières, des causeries.
A toi maintenant d'écouter
La vie qui s'évanouit.
"

La fille d'Aunevermes - Comme son nom l'indique, cette chanson populaire nous vient de la région d'Aunevermes, bien qu'elle soit largement connue à travers Orlaïs. S'il est clair qu'elle s'inspire des évènements de la Marche Exaltée de Dalatie, nul ne sait si le narrateur et la "fille d'Aunevermes" sont bien réels ou s'ils représentent l'ensemble des pertes subies à Aunevermes.
"Trop longtemps j'ai voyagé, bientôt je la reverrai,
La fille d'Aunevermes, et son sourire à croquer.
Des fleurs dans les cheveux, de l'amour dans les yeux,
Elle attend patiemment de m'épouser.

Je rêve du baiser volé sous la tonnelle.
Je rêve de la promesse faite sous le vieux noyer.
Des fleurs dans les cheveux, de l'amour dans les yeux,
Elle attend patiemment de m'épouser.

Un dernier ruisseau, une dernière colline,
Avant de revoir ce sourire à croquer.
Des fleurs dans les cheveux, de l'amour dans les yeux,
Elle attend patiemment de m'épouser.

Je dévale les rues, où seul le silence règne.
Des flèches elfiques cinglent le vieux noyer.
Des fleurs dans les cheveux, de l'amour dans les yeux,
Elle attend patiemment de m'épouser.

Des pluies de rubis dans l'herbe, des pétales qui s'envolent.
Guide-la jusqu'à Lui, Andrasté, par pitié.
Je l'ai trouvé sans vie, près de la Chantrie,
Attendant patiemment de m'épouser.


Comme son nom l'indique, cette chanson populaire nous vient de la région d'Aunevermes, bien qu'elle soit largement connue à travers Orlaïs. S'il est clair qu'elle s'inspire des évènements de la Marche Exaltée de Dalatie, nul ne sait si le narrateur et la "fille d'Aunevermes" sont bien réels ou s'ils représentent l'ensemble des pertes subies à Aunevermes.
"


Dim 7 Juin 2020 - 1:02

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- Les chansons Dalatiennes-


Les traductions proposées pour ces chansons ne sont pas des traductions littérales, mais plutôt des interprétations des paroles originales.

Suledin - Suledin est une chanson elfique ayant pour thème le fait de supporter, puis de sortir du chagrin. A l'origine cette chanson fut créée pour exprimer leur ressenti face à la perte de leurs anciennes terres, mais elle est aujourd'hui communément adaptée pour exprimer aussi des luttes personnelles.

"Melava inan enansal
ir su aravel tu elvaral
u na emma abelas
in elgar sa vir mana
in tu setheneran din emma na
lath sulevin
lath araval ena
arla ven tu vir mahvir
melana ‘nehn
enasal ir sa lethalin
"


(Le temps était autrefois une bénédiction
mais les longs voyages sont plus longs
quand on est seul à bord.
Prenez l'esprit du temps passé
mais ne vous installez pas sur des terres qui ne sont plus les vôtres.
Soyez sûrs d'être dans le besoin,
et le chemin va se dessiner
vers un foyer pour demain
et le temps sera encore
être le bonheur qu'il était autrefois)

Mir Da'len Somniar - Une berceuse dalatienne traditionnelle trouvée dans le livre pour enfants "Le fil des prophètes".
"Elgara vallas, da'len
Melava somniar
Mala taren aravas
Ara ma'desen melar
Iras ma ghilas, da'len
Ara ma'nedan ashir
Dirthara lothlenan'as
Bal emma mala dir
Tel'enfenim, da'len
Irassal ma ghilas
Ma garas mir renan
Ara ma'athlan vhenas
Ara ma'athlan vhenas
"


(Le soleil se couche, mon petit,
Il est l'heure de rêver
Ton esprit voyage,
Mais je vais te garder ici.
Où vas-tu aller, mon petit
Enlevé par le sommeil ?
À la recherche de la vérité dans un pays oublié
Au plus profond de ton cœur.
N'aie jamais peur, mon petit,
Partout où tu iras.
Suis ma voix...
Je te rappellerai chez toi.
Je te rappellerai chez toi.)


Une interprétation [ICI]

Où gémissent les saules - Une version elfique d'une berceuse locale de Denerim et des villages voisins dans le sud.
"Tel’enara bellana bana’vhenadahl,
Sethen’a ir san’shiral, mala tel’halani
Ir sa’vir te’suledin var bana’vallaslin,
Vora’nadas san banal’him emma abel revas.
Ir tela’ena glandival, vir amin tel’hanin.
Ir tela las ir Fen halam, vir am’tela’elvahen.
"


(Nous avons perdu l'immortalité ou les ruines de l'arbre du peuple
Le temps n'aidera pas si le pays des rêves n'est plus notre destination.
Nous essayons de conduire malgré l'échec éventuel de nos marquages.
Nous nous engageons pour la liberté inévitable et dérangeante.
Quand nous ne pouvions plus croire, nous avons perdu la splendeur à la guerre.
Quand le Loup a échoué/gagné, nous avons perdu le Peuple à la guerre.)

in uthenera - Chant traditionnel elfique dont l'origine reste incertaine.
"hahren na melana sahlin
emma ir abelas
souver'inan isala hamin
vhenan him dor'felas
in uthenera na revas

vir sulahn'nehn
vir dirthera
vir samahl la numin
vir lath sa'vunin
"


(ancien ton heure est venue
Je suis maintenant rempli de tristesse
les yeux fatigués ont besoin de repos
le cœur est devenu gris et lent
dans le sommeil éveillé, est la liberté

nous chantons, nous nous réjouissons
nous racontons les histoires
nous rions et pleurons
nous aimons un jour de plus)


la version chantée par Léliana [ICI]


Dim 7 Juin 2020 - 1:04

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- Les chansons Naines-

Pancake au cochard - Une comptine naine très appréciée.

"Nug sits in the mud
Nug wiggles his ears
You catch the nug, he slips away!
Nug gets to live another day!

Nug sits in the mud
Nug wiggles his toes
You hook the nug, he slips away!
Now the nug runs off to play!

Nug sits in the mud
Nug wiggles his nose
You tickle the nug, he laughs away!
Now the nug sits on my plate!
"


(Cochard s'assoit dans la boue
Cochard remue ses oreilles
Tu attrapes la pépite, il s'échappe !
Cochard va vivre un jour de plus !

Cochard s'assoit dans la boue
Cochard agite ses orteils
Tu accroches le cochard, il s'échappe !
Maintenant, le cochard s'enfuit pour jouer !

Cochard s'assoit dans la boue
Cochard remue son nez
Tu chatouilles le cochard, il s'esclaffe !
Maintenant, le cochard est dans mon assiette !)

La belle et le cochard -
"Cochard, cochard
Tu n'es pas un cabochard
Cochard, cochard
Tu ne vis pas dans une mare

Tu n't'habilles pas en loubard
Mais pour qui n'est pas flemmard
Tu es plus brillant qu'un phare
Cochard, cochard

Tu es un drôle de lascar !
"


Le roi cochard - Extrait des chansons que seuls les cochards peuvent entendre par Paragon Ebryan, 5:84 des Exaltés.

Un débat passionné entre les admirateurs de cochards est de savoir si le roi dans les chansons de Paragon Ebryan était une sorte de souverain ou simplement un spécimen particulièrement magnifique de la race. Chaque année, des érudits, des bardes et des passionnés de rongeurs apportent des offrandes de fromage dans les tréfonds, espérant entrevoir le roi des cochards, qui reste introuvable.
"Vive le Roi cochard.
Il a grand-faim de fromage.
Vieilli si possible.
"


Dim 7 Juin 2020 - 1:06

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- Les chansons Inclassables -

Ballade d'Acélie - Cette ballade a supposément été écrite après la bataille d'Acélie, qui a mis fin au quatrième enclin, en 5:20 des Exaltés.
"le vent qui souffle
parmi les tombes
porte leur chant
au fil des sables

entendez-nous
tel, notre cri
les ombres veillent
notre gésir

entendez-nous
tel, notre cri
gravés nos noms
résistent au temps

quand vient la mort
la dévoreuse
entendez-nous
et nous viendrons
"

Une interprétation [ICI]


L'aurore viendra - Hymne de la Chantrie.
"Shadows fall
And hope has fled
Steel your heart
The dawn will come

The night is long
And the path is dark
Look to the sky
For one day soon
The dawn will come

The shepherd's lost
And his home is far
Keep to the stars
The dawn will come

The night is long
And the path is dark
Look to the sky
For one day soon
The dawn will come

Bare your blade
And raise it high
Stand your ground
The dawn will come

The night is long
And the path is dark
Look to the sky
For one day soon
The dawn will come
"


(Les ombres tombent
Et l'espoir s'effondre
Apaise ton coeur
L'aube viendra

La nuit est longue
Et la route si sombre
lève les yeux
oui, car sous peu
L'aube viendra

Loin de chez lui
erre le berger
Il prie les étoiles
L'aube viendra

La nuit est longue
Et la route si sombre
lève les yeux
oui, car sous peu
L'aube viendra

Dégaine ta lame
Brandis-la haut
Tiens bon, sois fort
L'aube viendra

La nuit est longue
Et la route si sombre
lève les yeux
oui, car sous peu
L'aube viendra
"

A écouter [ICI]


Cochon au pot (La ballade de groin-groin)  - Extrait du recueil Légendes mineures : des cochards et des renards, compilé par Philliam, barde de son état !
"Oh !
Face à la menace du cuirassé, les plus valeureux prennent leurs jambes à leur cou !
Groin-Groin, Groin-Groin ! Du danger, il fait fi !
Il fait tomber neuf Qunari et devient chevalier, le croyez-vous ?
Groin-Groin, Groin-Groin ! Ne recule devant aucun défi !

Oh !
Une horde de pirates approche des côtes; le pire est à venir.
Groin-Groin, Groin-Groin ! Toujours vaillant, il est sans peur !
Il fait trébucher un amiral et on le nomme capitaine de navire !
Groin-Groin, Groin-Groin ! C'est notre sauveur !

Oh !
L'Enclin est sur nous, il n'y a plus aucun espoir.
Groin-Groin, Groin-Groin ! Il faudra lui passer sur le corps !
Il court dans les pattes des engeances et devient Garde des ombres, quelle histoire !
Groin-Groin, Groin-Groin ! Par monts et par vaux, on en parlera longtemps encore !

Oh !
Il vient parader devant tout Kirkwall en héros et en conquérant !
Groin-Groin, Groin-Groin ! Si têtu et si roublard !
Il fait dégringoler un vicomte et finit sur la broche, une pomme entre les dents !
Groin-Groin, Groin-Groin ! C'est le plus délicieux des cochards !
"


Eclat de bleu  - Paroles notées sur une page volante, auteur inconnu.
"Bruit de la pluie sur les feuilles, sous un ciel gris plombé.
Éclat de bleu renié. Mais il ne pouvait rester.

Il sentait son sang se troubler
Et ses rêves, presque à l'étouffer.
Dans son coeur résonnait l'appel.
Et plus qu'une route à prendre, si belle.

Bruit de la pluie sur les feuilles, sous un ciel gris plombé.
Éclat de bleu renié. Mais il ne pouvait rester.

"Tu vois comme la pluie a lavé
Les larmes que tu laissais couler ?
Les ténèbres ont beau m'appeler,
Nous mourons tous, ça tu le sais".

Bruit de la pluie sur les feuilles, sous un ciel gris plombé.
Éclat de bleu renié. Mais il ne pouvait rester.

Le voici enfin arrivé
Là où tant avaient mis le pied.
Jette au monde un dernier coup d'oeil
Avant de franchir l'ultime seuil.

Bruit de la pluie sur les feuilles, sous un ciel gris plombé.
Éclat de bleu renié. Mais il ne pouvait rester.

Maison dans la plaine, oiseaux dans le ciel infini.
Elle lui chante les souvenirs du temps d'avant la pluie.

Entendez-nous, douce Andrasté,
Car nous allons vers le même lieu.
Avant que notre âme n'ait sombré
Voyons donc cet éclat de bleu.

Bruit de la pluie sur les feuilles, sous un ciel gris plombé.
Éclat de bleu renié. Mais il ne pouvait rester.
"


Autrefois -
"Autrefois
Nous étions
Insouciants, c'est vrai.

Autrefois
Nous n'avions jamais peur.

Autrefois notre royaume
Vivait en paix.

Autrefois les jours
Étaient meilleurs.

L'Immatériel
Et les vils démons
N'étaient qu'une menace
Lointaine nous pensions

Le ciel fragile
Nous étions unis
Pour le combat de nos vies.

Autrefois
Nous fêtions la
Paix en musique.

La lumière
Éclairait nos rêveries.

Autrefois
Dans nos plaines
Et nos champs fertiles.

Autrefois
Nous étions invincibles.
"

Créateur -
"Divin,
Créateur, je prie

Au saint
Temple et brandis

L'empreinte
D'une tragédie

Déclin
La nuit s'écoule ici

Le coeur
Du dragon est froid

La peur
Dévore les âmes

Fuyons
Le Voile est meurtri

Démon
Épargne-moi
Je t'en prie
"


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