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Cullen Rutherford
– Inquisition –
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Coeur de nuit, Odeur de Verveine
Heureux de l'avoir fait rire, une vague de chaleur se répandit dans le coeur de Cullen. La façon dont elle riait était délicieuse. C'était comme si son corps souhaitait garder sa grâce et sa délicatesse, mais que la force de son rire trahissait tout cela en une joie espiègle. Le Commandant se retrouva avec une envie pressante de la faire rire, de lui parler pour expérimenter tout ses petits tics de langage corporel qui faisait son charme.
"Et oui et oui ! Si je n'avais pas déjà affronté des démons terribles, ou survécu à une des colère terrible de ma soeur, je me serais enfui la queue entre les jambes."
Il prit une courte pause, écoutant Lynne.
"Je comprends bien ta réaction. Je n'étais pas vraiment le plus charmant des templiers a Kirkwall, mais si il y avait pire j'imagine."
"Et oui et oui ! Si je n'avais pas déjà affronté des démons terribles, ou survécu à une des colère terrible de ma soeur, je me serais enfui la queue entre les jambes."
Il prit une courte pause, écoutant Lynne.
"Je comprends bien ta réaction. Je n'étais pas vraiment le plus charmant des templiers a Kirkwall, mais si il y avait pire j'imagine."
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Cœur de nuit, odeur de verveine
La mage rit de plus belle à la nouvelle plaisanterie de son ami, enjouée par l'idée ridicule qu'il venait d'amener. Lui, que ses soldats nommaient le "Lion de Ferelden", fuir devant sa frêle personne ? Lui, le même homme qui aurait pu fuir milles fois face au Démon qui les avait assaillis, mais qui a préféré se jeter dans la gueule du loup plutôt que de la laisser périr ? Jamais elle ne pourrait se faire à l'idée qu'elle aurait put lui inspirer une once de peur.
Mais la cerise sur la gâteau, c'était le fait qu'il évoquait sa propre soeur comme une créature qui avait su forger son courage.
Lynne reprit progressivement son sérieux et son calme habituel tandis que le sujet dérivait vers leur passé commun. Elle semblait pensive alors que sa réflexion l'amenait à se tourner vers les souvenirs du Cercle qu'elle avait quitté.
Tout cela lui semblait tellement lointain ... si lointain.
" C'est vrai. Tu n'es jamais allé aussi loin que ... certains." admit-elle, " Je suppose que si j'avais l'air si en colère c'est également que ... derrière toi, c'est eux que je voyais. Eux, et Meredith. "
Evoquer ces facheux souvenirs ne la rendit pas amère. Au contraire, même si elle se révoltait encore de ce qui c'était passé, elle savait qu'elle ne pouvait rien y changer. Aussi, c'est sans animosité qu'elle poursuivit ses propos.
" J'ai l'impression de ne pas m'être assez excusée d'avoir déchargé tout ça sur toi. Tu sais, quand tu m'avais ramené au camps après notre attaque dans la caverne, par exemple." lui confia t'elle, baissant légèrement la tête avec humilité. " On ne peut pas mettre tous les malheurs du monde sur un seul homme, c'est simpliste et réducteur. "
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Cullen Rutherford
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Coeur de nuit, Odeur de Verveine
Cullen avait réussi sa mission. Le rire de Lynne était la catalyse de son propre bonheur, et il se rendit compte que la rejoindre dans sa tour avait été l'une de ses meilleurs décisions depuis longtemps. Après tout, il était bon de rire et de sourire un peu. Son propre mal de crâne avait disparu, et il saliva à l'idée que sa tisane était maintenant assez froide pour pouvoir être dégustée. Le goût amer de l'elfidée le rapporta à des temps plus simples, et des temps plus heureux. Enfin... Plus heureux? Qui sait ce que l'avenir lui réservait ?
"Hé bien hé bien. Je tremble à l'idée qu'en me regardant, tu voyais Méridith. Même parmis le respect dû à la chaîne de commande, moi et mes collègue la trouvions assez... Austère."
Il était étrange de parler de ça avec un ton aussi léger. Méridith était l'une des plus grande criminelles de son temps, après tout.
Les yeux de Cullen s'écarquillèrent lorsque Lynne démarra des excuses non demandées, et encore moins attendues. Il rougit de plus belle, tentant de la faire s'arrêter.
"Ohlà, ohlà Lynne. Je suis solide. Mes grandes épaules peuvent soulever n'importe quoi, la preuve. Je suis le Commandant."
Il disait ça sur un ton mi-figue mi-raisin. Qui sait quand l'Atlas qui soulevait la voûte du monde s'écroulerait ?
"Hé bien hé bien. Je tremble à l'idée qu'en me regardant, tu voyais Méridith. Même parmis le respect dû à la chaîne de commande, moi et mes collègue la trouvions assez... Austère."
Il était étrange de parler de ça avec un ton aussi léger. Méridith était l'une des plus grande criminelles de son temps, après tout.
Les yeux de Cullen s'écarquillèrent lorsque Lynne démarra des excuses non demandées, et encore moins attendues. Il rougit de plus belle, tentant de la faire s'arrêter.
"Ohlà, ohlà Lynne. Je suis solide. Mes grandes épaules peuvent soulever n'importe quoi, la preuve. Je suis le Commandant."
Il disait ça sur un ton mi-figue mi-raisin. Qui sait quand l'Atlas qui soulevait la voûte du monde s'écroulerait ?
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Cœur de nuit, odeur de verveine
" Austère, c'est une façon gentille de le dire. " soupira t'elle doucement, repensait à ce que les mages de son Cercle avaient vécus. " Mais ce que je voulais dire, c'est que tu étais quand même le deuxième en charge, et on ne se connaissait pas aussi bien que maintenant donc, forcément ... "
Elle n'osait pour l'instant pas goûter à son infusion, préférant laisser reposer les feuilles encore quelques petites minutes afin d'en retirer toute leur saveur. En attendant, leur parfum agréable la plongeait dans une ambiance détendue malgré la discussion aux thèmes plus graves. Même si le sujet était difficile, elle savait qu'elle pouvait en discuter librement avec son interlocuteur. Parler de tout cela, en soi, la soulageait.
Quand Cullen se troubla face à ses excuses, elle ne put s'empêcher de rougir également. Elle n'avait pas souhaité le plonger dans l'embarras.
" Je ne voulais pas insinuer que tu n'étais pas solide, c'est juste que ... Je ne veux pas que tu te blames pour tout cela, d'accord ? C'est important pour moi. "
Tout en déversant ces paroles, elle l'observa avec insistance mais non sans douceur. Il devait comprendre.
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Cullen Rutherford
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Coeur de nuit, Odeur de Verveine
Lynne ne le lâchait pas du regard. Même si il l'avait voulu, le Commandant n'aurait pas pu se libérer de l'emprise que ces yeux noisettes avait sur lui. Il était si vulnérable face à cela. Car malgré sa chevelure de soie, malgré ses traits délicats, malgré ses mains fragiles et douces... Les yeux de Lynne était peut-être ce qu'il préférait le plus. Dès le premier jour, il s'était noyait dans la chaleur de ses iris. Sa respiration s'était coupé, et alors qu'il admirait une fois de plus les yeux de la mage, il se rendit compte qu'elle lui parlait.
Mince. Il n'avait pas écouté. Qu'est ce qu'il allait dire ?
"Euh... ouais, c'est pas faux."
Créateur. Gêné, il se détacha rapidement des yeux de Lynne et reprit une gorgé de tisane, espérant que la mage n'insiste pas trop.
Mince. Il n'avait pas écouté. Qu'est ce qu'il allait dire ?
"Euh... ouais, c'est pas faux."
Créateur. Gêné, il se détacha rapidement des yeux de Lynne et reprit une gorgé de tisane, espérant que la mage n'insiste pas trop.
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Cœur de nuit, odeur de verveine
La jeune femme se troubla légèrement quand ses iris noisettes rencontrèrent ceux du commandant. Immédiatement happée, elle ralentit légèrement son débit tandis que leurs regards s'entremêlaient dans une communication silencieuse. Une vague de chaleur envahit son visage, se sentant vulnérable et pourtant transportée à ce simple contact visuel. En sa présence, un sentiment agréable prenait naissance dans sa poitrine : mais lorsqu'il la regardait de cette manière, elle avait l'impression que cette émotion indescriptible dansait en elle, vivante et chantante.
Un léger silence plana lorsqu'elle finit sa phrase, lui souriant doucement. Elle ne se rendit pas immédiatement compte qu'il ne répondit pas tout de suite : mais quand il le fit, sa réponse gênée la sortit de sa propre rêverie.
Elle cligna des yeux, intriguée. L'avait-elle plongé dans l'embarras en évoquant ce sujet ?
" Je ne comprend pas ... Comment ça, "pas faux" ?"
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Cullen Rutherford
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Coeur de nuit, Odeur de Verveine
Ah. Oh. Ih. Uh. Yh. Mince, mince, mince. Qu'est ce qu'il allait dire maintenant ? Il aurait dû écouter. Il aurait dû éviter ce piège si facile qu'était le regard de Lynne. Le Commandant s'insulta intérieurement d'idiot. Comment allait-elle le prendre au sérieux maintenant ?
Et pourtant, malgré la confusion actuelle, il était bien plus qu'heureux d'avoir pu partager ce moment avec Lynne. Son coeur se serrait à l'idée qu'il avait déjà quitté la réconfortante chaleur des prunelles de son amie, et il ne voulait qu'une chose : Se taire, et recommencer l'expérience. Ce n'était pas bon.
La seule chose qui lui faisait cet effet là était le Lyrium.
"Euh... Hé bien. Ce que je disais. C'est pas faux. Que dire d'autre ? Ahem."
Il essaya de collecter dans son esprit des informations à partir du sujet de conversation. C'était maintenant qu'il fallait qu'il se sauve, ou ça allait tout ruiner.
"Je voulais dire que... Euh... j'étais entièrement d'accord avec toi. Et que euh..."
Un arôme flotta vers les narines de Cullen. C'était quelque chose qu'il avait déjà senti auparavant, mais il n'y avait jamais vraiment fait attention. Un doux parfum de lavande se dissociait des arômes des tisanes. Il aimait cette odeur.
Son esprit tentait de se dégager de cette situation qu'il ne savait gérer, alors il acta sans réfléchir. De but en blanc, il dit à Lynne, tout en souriant. Sa confiance semblait être retrouvée, mais qui sait pour combien de temps ?
"D'ailleurs, est ce que je t'ai déjà dit que tu avais le même parfum que Méridith ? J'ai toujours adoré cette odeur de lavande. Et-.... Oh Créateur."
Oh la gaffe. Oh la la la la gaffe. Il enfouit son visage dans ses mains, se rendant compte de l'énormité de ce qu'il venait de dire. Ca y est. Elle allait arrêter de lui parler.
C'était fini.
Et pourtant, malgré la confusion actuelle, il était bien plus qu'heureux d'avoir pu partager ce moment avec Lynne. Son coeur se serrait à l'idée qu'il avait déjà quitté la réconfortante chaleur des prunelles de son amie, et il ne voulait qu'une chose : Se taire, et recommencer l'expérience. Ce n'était pas bon.
La seule chose qui lui faisait cet effet là était le Lyrium.
"Euh... Hé bien. Ce que je disais. C'est pas faux. Que dire d'autre ? Ahem."
Il essaya de collecter dans son esprit des informations à partir du sujet de conversation. C'était maintenant qu'il fallait qu'il se sauve, ou ça allait tout ruiner.
"Je voulais dire que... Euh... j'étais entièrement d'accord avec toi. Et que euh..."
Un arôme flotta vers les narines de Cullen. C'était quelque chose qu'il avait déjà senti auparavant, mais il n'y avait jamais vraiment fait attention. Un doux parfum de lavande se dissociait des arômes des tisanes. Il aimait cette odeur.
Son esprit tentait de se dégager de cette situation qu'il ne savait gérer, alors il acta sans réfléchir. De but en blanc, il dit à Lynne, tout en souriant. Sa confiance semblait être retrouvée, mais qui sait pour combien de temps ?
"D'ailleurs, est ce que je t'ai déjà dit que tu avais le même parfum que Méridith ? J'ai toujours adoré cette odeur de lavande. Et-.... Oh Créateur."
Oh la gaffe. Oh la la la la gaffe. Il enfouit son visage dans ses mains, se rendant compte de l'énormité de ce qu'il venait de dire. Ca y est. Elle allait arrêter de lui parler.
C'était fini.
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Lynne observa Cullen avec innocence, penchant légèrement sa tête sur le coté alors qu'il formulait ses premiers mots. Mais ses balbutiements, son hésitation,w ses réponses largement évasives ... Bientôt, la gêne remplaçant sa candeur. Peut-être avait-elle été trop directe en faisant référence à ce qu'il avait pu ressentir, ou peut-être que ses assomptions initiales étaient erronées. Elle se sentit penaude d'avoir plongé son ami dans cet état.
Mais, au bout d'un moment, en observant ses mimiques et en constatant son incertitude, la possibilité qu'il avait mal entendu finit par venir à son esprit. Mais alors qu'elle allait lui demander si il souhaitait qu'elle réitère sa question, un sourire confiant revint brusquement sur les lèvres du commandant.
Et c'est avec une conviction inébranlable qu'il trouva un point commun entre Mérédith Stannard, sans aucun doute la personne qu'elle détestait le plus au monde, et elle-même.
La brune entrouvrit légèrement les lèvres, muette, alors que le sens de la phrase s'insinuait progressivement dans son esprit. C'était si ... inattendu, si aléatoire, qu'elle ne trouvait pas de mots pour réagir.
Cullen, pour sa part, se rétracta immédiatement. Elle ne vit pas son visage caché derrière ses mains, mais il ne fallait pas être un génie pour voir qu'il était visiblement honteux et embarrassé d'avoir dit une chose pareille.
Un léger silence plana. Puis, soudainement, Lynne se mit à rire de plus belle.
Sa main vint à moitié masquer son visage alors que la mage fut prise d'un fou rire qu'elle ne parvint à stopper, essayant de temps à autre d'articuler un mot mais inévitablement terrassée par l'hilarité.
Progressivement, elle tenta de se calmer - mais jamais son sourire ne stoppait alors que ses gloussements ne tarissaient pas.
"Oh, Cullen-- Ne te met pas dans cet état, ce n'est pas grave--" rit-elle, lui tapotant doucement le bras. "Mais tout de même, pourquoi est-ce que tu dirais ça, c'est-- ..."
Elle ne finit pas sa phrase, une fois de plus vaincue par l'absurdité de la situation.
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Cullen Rutherford
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Quelle chose idiote a dire. Se cachant le visage pour tenter de faire taire son embarras, il ne pouvait pas voir la réaction de Lynne. Ça y est. La colère qui habitait dans ses iris il y a quelques mois allait retourner. Elle allait cesser de lui parler.
Il ne lui restait plus qu'à partir et à prier le Créateur qu'elle le pardonnera un jour. Un léger silence plana sur la situation, et le rouge des joues de Cullen ne désemplit pas. A l'inverse, il s'accentua. C'était bien la dernière fois qu'il faisait confiance à ses instincts pour se sortir d'une telle situation.
Écartant les doigts pour voir, comme un enfant qui redoutait la réaction de sa mère, il put voir une confusion gigantesque sur le visage de Lynne. Ses lèvres étaient entre-ouvertes comme un poisson hors de l'eau sur un "Ah" insonore. Ses sourcils bruns étaient écarquillés sur le fait de la surprise. La force semblait avoir abandonné ses bras qui flottait autour de sa taille.
Si Cullen n'avait pas été dans un tel état, il en aurait rit. Mais plus important encore : il aurait gravé cette image dans sa mémoire.
Car même avec cette expression faciale, Lynne était l'une des plus belles femmes qu'il connaissait.
Le Commandant attendait, aussi sereinement que possible, que Lynne brise le silence en le réprimandant. Cela arriva bien trop vite.
Mais au lieu de se plaindre de son énormité, la mage se mit à rire. Elle rit aux éclats, d'un rire cristallin encore plus pur qu'avant.
Et alors, la gêne de Cullen se mua en confusion. Qu'est ce que... il ne savait pas quoi dire. Simplement :
"Euh... hein ? Mais pourquoi ça te fait rire ?"
Il ne lui restait plus qu'à partir et à prier le Créateur qu'elle le pardonnera un jour. Un léger silence plana sur la situation, et le rouge des joues de Cullen ne désemplit pas. A l'inverse, il s'accentua. C'était bien la dernière fois qu'il faisait confiance à ses instincts pour se sortir d'une telle situation.
Écartant les doigts pour voir, comme un enfant qui redoutait la réaction de sa mère, il put voir une confusion gigantesque sur le visage de Lynne. Ses lèvres étaient entre-ouvertes comme un poisson hors de l'eau sur un "Ah" insonore. Ses sourcils bruns étaient écarquillés sur le fait de la surprise. La force semblait avoir abandonné ses bras qui flottait autour de sa taille.
Si Cullen n'avait pas été dans un tel état, il en aurait rit. Mais plus important encore : il aurait gravé cette image dans sa mémoire.
Car même avec cette expression faciale, Lynne était l'une des plus belles femmes qu'il connaissait.
Le Commandant attendait, aussi sereinement que possible, que Lynne brise le silence en le réprimandant. Cela arriva bien trop vite.
Mais au lieu de se plaindre de son énormité, la mage se mit à rire. Elle rit aux éclats, d'un rire cristallin encore plus pur qu'avant.
Et alors, la gêne de Cullen se mua en confusion. Qu'est ce que... il ne savait pas quoi dire. Simplement :
"Euh... hein ? Mais pourquoi ça te fait rire ?"
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Dès la fin de ses explications, la mage replongea tête la première dans l'hilarité. Elle ne remarqua pas tout de suite la confusion évidente qui naquit sur le visage de son ami.
Lynne mit sa main sur son front, tentant de calmer son rire, pendant que Cullen exprimait à voix haute son incompréhension.
" Haha c'est juste ... -- excuse moi-- c'est juste que je m'attendais pas à ce que tu dises ça-- Quelle femme de goût cette Meredith--"
Sa phrase s'évanouit dans un rire qu'elle avait du mal à contrôler. L'absurdité de la situation, l'idée que meredith utilisait du savon à la lavande ... A chaque fois qu'elle tentait de se calmer, son hilarité se ré-attisait en repensant trop fort à ce qu'il avait dit.
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